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EN BREF
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À Genève, le 30 septembre 2025, les Nations Unies ont fait une annonce marquante en publiant une offre d’emploi rare : celle de Chef du Service de sécurité et de sûreté (P-5) pour l’Office des Nations Unies à Genève (ONUG). Ce poste exceptionnel représente bien plus qu’une simple fonction à pourvoir ; il constitue une clé de voûte sécuritaire pour le système onusien dans une ville au cœur de la diplomatie mondiale. Le futur occupant de ce rôle crucial sera chargé de garantir la sécurité de l’ensemble du personnel onusien en Suisse, tout en naviguant dans un environnement complexe, fait de tensions géopolitiques et de défis sécuritaires multiples.
Le 30 septembre 2025, les Nations Unies ont présenté une occasion rare pour les professionnels de la sécurité : un poste de Chief, Security and Safety Service (P-5) à l’Office des Nations Unies à Genève (ONUG). Ce poste transcende une simple fonction et s’inscrit comme un élément central pour la sécurité du système onusien à Genève, mêlant diplomatie, leadership opérationnel et coordination stratégique au sein de la communauté internationale. L’enjeu est donc considérable, tant pour la sécurité physique que pour la gestion des crises liées aux missions onusiennes.
Un rôle pivot au cœur de la diplomatie mondiale
Le futur ou la future occupant(e) de ce poste ne sera pas seulement le responsable d’une équipe, mais agira en tant que principal conseiller en matière de sécurité pour l’ensemble du système onusien en Suisse. Ce rôle implique la nécessité de coordonner les politiques de sécurité entre les diverses agences et programmes présents sur le territoire, garantissant ainsi un équilibre entre la protection des employés et la mission diplomatique de l’ONU.
Avec des responsabilités telles que la direction du Service de sécurité et de sûreté de l’ONUG, la présidence d’une cellule de sécurité inter-agences, et la gestion des communications d’urgence, le leader de ce service sera au cœur des décisions pouvant impacter la sécurité de milliers de collaborateurs internationaux, tout en devant collaborer étroitement avec les autorités suisses.
Le profil recherché : entre général et diplomate
Ce poste de niveau P-5 exige un profil d’exception, avec un diplôme de niveau Master dans des domaines tels que la sécurité, le droit ou l’administration publique. En plus de cela, les candidats doivent justifier d’au moins 10 ans d’expérience dans la gestion des risques ou la sécurité, dont 3 ans à un poste de direction d’équipes comptant plus de 50 personnes. Une connaissance approfondie du système de sécurité de l’ONU (UNSMS) est également recommandée.
Ce qui rend ce poste particulièrement rare est la combinaison des compétences requises. Le candidat idéal devra être à la fois un chef opérationnel, un stratège, un gestionnaire, un communicateur et un diplomate. Chaque décision prise dans ce rôle peut avoir des répercussions significatives sur la sécurité des employés internationaux, rendant la sélection d’autant plus cruciale.
Genève, une ville à enjeux sécuritaires élevés
La ville de Genève est tout sauf banale en ce qui concerne la sécurité internationale. En tant que capitale diplomatique, elle est le lieu de convergence de nombreuses ONG, ambassades et organisations intergouvernementales. Cette situation fait de Genève un terrain propice pour les tensions géopolitiques, qui se manifestent par des conférences, des manifestations et des menaces comme des cyberattaques.
Le futur chef de la sécurité aura la responsabilité de gérer un spectre de menaces variées, allant du terrorisme à l’espionnage, en passant par les risques numériques et les crises sociales. Ce rôle exige non seulement une forte capacité d’analyse, mais aussi un sang-froid et une culture éprouvée du renseignement dans le domaine de la sécurité.
Une sélection politique et géopolitique
Les postes de direction à l’ONU sont réputés pour leur rareté, et celui-ci ne fait pas exception. En effet, la dernière vacance à ce niveau à Genève remonte à plusieurs années. Par ailleurs, l’ONU a clairement indiqué que les candidatures féminines ainsi que celles provenant de pays sous-représentés sont vivement encouragées. Cela signale que les critères de sélection ne se limitent pas au parcours académique et professionnel des candidats, mais doivent également prendre en compte des équilibres géopolitiques internes.
Enjeux humains et symboliques
Derrière l’aspect administratif et formel de cette annonce, le poste de chef de la sécurité incarne quelque chose de plus profond. Il représente la neutralité armée de la diplomatie internationale : la nécessité de protéger sans militariser, de dissuader sans menacer. La mission est donc primordiale pour garantir un cadre sécurisé, où diplomates, agents et visiteurs peuvent interagir sans crainte de vulnérabilité.
Les candidats intéressés auront jusqu’au 14 novembre 2025 pour postuler en ligne et rejoindre un environnement où la sécurité et la diplomatie s’entrelacent.
Pour en savoir plus sur l’actualité genevoise, vous pouvez consulter des articles tels que les nouvelles sur les transports publics à Genève, ou découvrir comment l’intégration professionnelle des réfugiés ukrainiens progresse.
Genève : Poste Clé de Chef de la Sécurité à l’ONU
- Poste : Chef, Security and Safety Service (P-5)
- Lieu : Bureau des Nations Unies à Genève
- Date limite : 14 novembre 2025
- Expérience requise : Minimum 10 ans, 3 ans en management d’équipes
- Compétences : Stratégie, gestion de crise, leadership
- Connaissance : Système de sécurité de l’ONU (UNSMS)
- Lieu symbolique : Centre de la diplomatie mondiale et des tensions géopolitiques
- Mission : Sécurité physique, coordination inter-agences
- Encouragement : Candidatures féminines et sous-représentées
- Supervision : Directeur de l’administration de Genève et Directeur UNDSS
Opportunité de carrière : Chef de la sécurité à l’ONU
Le 30 septembre 2025, les Nations Unies ont publié une offre d’emploi rare pour un poste de Chief, Security and Safety Service (P-5) à l’Office des Nations Unies à Genève (ONUG). Ce poste est d’une importance capitale pour la sûreté et la sécurité des opérations onusiennes à Genève, qui est un véritable carrefour diplomatique.
Profil recherché
- Niveau d’études : Diplôme de niveau Master en sécurité, droit, ou administration publique.
- Expérience professionnelle : Minimum de 10 ans d’expérience en gestion des risques ou en sécurité, avec 3 ans minimum à la tête d’équipes de plus de 50 personnes.
- Connaissances spécifiques : Une connaissance du système de sécurité de l’ONU (UNSMS) est vivement recommandée.
- Bilinguisme : Anglais et français requis.
Responsabilités
Le futur chef de la sécurité à l’ONU à Genève devra :
- Diriger le Service de sécurité et de sûreté de l’ONUG.
- Présider une cellule de sécurité inter-agences.
- Superviser la communication d’urgence et la gestion de crises.
- Coordonner les politiques de sûreté entre les agences et les autorités suisses.
Conditions de travail
Le poste est situé à Genève, une ville avec un environnement de sécurité complexe en raison de sa position internationale. Le candidat retenu devra traiter avec des menaces variées telles que le terrorisme, l’espionnage et les cyberattaques.
Informations supplémentaires
Les candidatures féminines et celles provenant de pays sous-représentés sont fortement encouragées. La sélection n’est pas uniquement basée sur le CV, mais aussi sur des considérations géopolitiques.
Les intéressés peuvent consulter l’annonce complète et postuler en ligne jusqu’au 14 novembre 2025 à l’adresse suivante : Postuler ici.
Pour plus d’informations sur le marché de l’emploi à Genève
Pour ceux qui explorent d’autres opportunités d’emploi à Genève, il est intéressant de consulter les ressources suivantes :
- Opportunités d’emploi pour les frontaliers
- Candidature à la Migros
- Décroissance des opportunités d’emploi
- Recrutement à la police municipale
- Responsable de programme pour une mission humanitaire
FAQ sur le poste de chef de la sécurité à l’ONU à Genève
Quel est le niveau du poste proposé par l’ONU ? Ce poste est classé au niveau P-5, qui correspond à un grade élevé dans la hiérarchie internationale.
Quelles sont les responsabilités principales de ce poste ? Le ou la future chef de la sécurité sera responsable de la direction du Service de sécurité et de sûreté de l’ONUG, de la présidence d’une cellule de sécurité inter-agences, de la supervision de la communication d’urgence et de la gestion des crises impliquant du personnel onusien.
Quel est le niveau d’expérience requis pour candidater ? Les candidats doivent avoir au minimum 10 ans d’expérience en gestion des risques ou en sécurité, y compris 3 ans dans des fonctions de direction d’équipes de plus de 50 personnes.
Est-il nécessaire d’avoir une connaissance du système de sécurité de l’ONU ? Oui, une connaissance du système de sécurité de l’ONU (UNSMS) est vivement recommandée.
Quelles compétences sont essentielles pour ce poste ? Le candidat doit posséder des compétences en tant que chef opérationnel, stratège, gestionnaire, communicant et diplomate.
Quelles sont les spécificités de la ville de Genève au regard de la sécurité internationale ? Genève est une capitale diplomatique où se rencontrent ONG, ambassades et institutions, entraînant des enjeux de sécurité complexes comme le terrorisme, l’espionnage, le cyber-risque et la contestation sociale.
Les candidatures féminines sont-elles encouragées ? Oui, l’ONU encourage fortement les candidatures féminines et celles provenant de pays sous-représentés.
Jusqu’à quand les candidatures sont-elles ouvertes ? Les candidatures seront acceptées jusqu’au 14 novembre 2025.